Touriste en Islande


Landmannalaugar, Islande, 2008.
Les deux traces sont des chemins pour accéder au sommet et à son cratère. Celui de droite est fermé par une petite cordelette, à gauche « la saignée » est profonde de 50 centimètres. Tout le paradoxe du tourisme dans un milieu naturel et d’une extrême fragilité. Ce petit mont n’est constitué que de roches volcaniques n’ayant pas encore eu le temps de se couvrir et de s’agripper au lichen.
Malgré l’effort fait sur l’orientation des touristes la nature se modifie à coups de pieds et de battons de marche…